«L’Homme est comme une forêt.
Il se croit tout obscur, Il est partout
troué de rayons de soleil.
»

Henri Gougeaud

Le code de déontologie

Afin de mieux vous accompagner, ma pratique est supervisée.
Je continue à me perfectionner
 grâce à des formations professionnelles et un travail thérapeutique personnel.
J’ai signé le code de déontologie de L’IFAS, l’école humaniste de Gestalt, dont je suis issue :

1. Le thérapeute formé à l’IFAS – Ecole Humaniste de Gestalt, s’engage à conduire ses thérapies dans le respect de la méthode enseignée.

2. Il reçoit son client dans un cadre clair qu’il expose en début de thérapie. Ce cadre comprend des éléments sur ce qu’est une thérapie, la particularité de ce qu’est la relation thérapeutique ainsi que la confidentialité des contenus amenés par le client. Cette confidentialité est élargie au superviseur du thérapeute lors des séances de supervision. Le thérapeute a une relation claire et fluide avec l’argent. Il informe son client du montant de ses séances, du mode de paiement de celles-ci, et précise que les séances manquées sont dues. Il définit de manière écologique pour lui, le délai acceptable pour une annulation de séance.

3. Est posé comme élément du cadre l’absence de passage à l’acte entre le client et son thérapeute, ce qui exclut les relations sexuelles et la violence.

4. Le thérapeute a conscience de ses limites. Il est en mesure de se positionner avec sérénité, c’est à dire d’accepter ou non un nouveau client. Il sait référer à un autre praticien ou à un médecin un client qui dépasse ses compétences actuelles. Il intègre à sa pratique des séances de supervision. Le thérapeute met également de la conscience sur ses limites physiques et psychologiques et sait se ménager des temps de ressourcement.

5. Lorsque le thérapeute intervient en séance, il le fait dans l’intérêt élevé du client au travers de contenus assimilables par lui. Ses compétences lui permettent de se faire le reflet des processus dysfonctionnels du client tout en s’appuyant sur la relation thérapeutique comme vecteur de développement de comportements plus ajustés.

6. Sa conscience professionnelle permet au thérapeute de mettre le focus sur la confidentialité des séances, de faire respecter le cadre, d’être impliqué dans ses séances et engagé dans le suivi de ses clients comme dans son suivi en tant que praticien. Il prend le temps de se préparer pour ses séances. Il a des relations bienveillantes et soutenantes envers ses collègues.

7. Le thérapeute est conscient de l’importance de la supervision. Il en mesure la portée pour lui comme pour ses clients ainsi que la régularité nécessaire.

8. Le thérapeute est conscient de l’intérêt de son travail en thérapie individuelle et de l’impact de celle-ci sur sa capacité à recevoir et à accompagner un large panel de clients.

9. De la même manière il mesure l’importance de la formation continue au-delà des cycles de base de sa formation. Approfondir les concepts au travers de thèmes transversaux, mieux comprendre ce qui se joue dans la relation thérapeutique sont des opportunités de développement tant pour le thérapeute que pour sa pratique.

10. Le thérapeute communique sur sa pratique et sa formation professionnelle avec authenticité et transparence.

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